MURAKAMI AYAME
Fiche d'identitéÂge et année de naissance - 18 ans, née en l'an 5.
Grade - Genin.
Clan - Aucun.
Famille - Akira -
Médecin ChuninSaphia -
Kunoichi Junnin. Ils sont tous les deux décédés. Elle est donc orpheline.
Statut civil - Célibataire.
Signe distinctif - Sa bonne humeur et sa "flemmardise" légendaire à l’académie. Elle porte des petits symboles de couleur vert au niveau de ses pattes d'oie (yeux).
Nindô - Ne jamais réveiller le suzaku qui dort.
Qualités - Aimable, Accueillante, Autonome, Tolérante, Cérébrale, Consciencieuse, Exigeante (elle-même), Fidèle, Loyale, Humble, Joviale, Juste, Mélomane, Méticuleuse, Observatrice, Optimiste, Orientée solution, Imaginative, Sportive, Volontaire.
Défauts - Bornée, Survoltée, Compétitrice, Culottée, Parfois cynique, Retors, Effrontée, Énergique, Fêtarde, Franche, Jalouse, Ingénue, Insolente parfois, Intuitive, Rancunière (sur certaines choses), maladroite parfois, rêveuse, Sadique, Taquine, Téméraire.
Grandes guerresAutant dire que parler de ça n’est pas vraiment sa tasse de thé. Et on peut bel et bien dit que les guerres ont brisées sa famille. Ses parents ont connu les deux grandes guerres et y ont participé. Cependant, sa mère a été blessée durant la Seconde Guerre. Elle a traversé sa rémission jusqu’aux affrontements où ils perdirent la vie en l’an 19. Elle n’a pas forcément une très bonne relation avec la guerre et cela lui a laissé quelques traumatismes. Pour certains, cette guerre a été révélatrice, mais dans son cas, elle a été destructrice. Pour elle, elle dissimule une colère si forte qu’elle dirige contre ses parents, estimant qu’elle a été abandonnée. Pour le village, ce sont des héros parmi d’autres… Mais elle ne parvient pas à faire son deuil, même cinq années après. Depuis leur mort, c’est un sujet tabou dont elle a dû mal à se confier et une seule personne est parvenue à lui tirer les vers du nez : son senseï.
Pour en savoir plus→ Ayame est née au sein du Village de Konoha Gakure no Sato. Ses parents étaient tous deux des ninjas du village. Son père avait préféré la douceur des soins et sa mère la violence des coups et de transmettre la mort. Du moins, c’est ce que lui a toujours dit sa grand-mère qui a dû rapidement aider ses derniers à s’occuper de la fillette. En effet, elle a vu le jour après la Première Grande Guerre et ils devaient aider à reconstruire le village. Ce qu’ils furent sans regret, leur loyauté était acquise et ils savaient qu’ils devaient mourir pour permettre à leur fille de grandir dans un lieu adapté.
→ Pendant cinq ans, son père travaillait à l’hôpital afin de soigner les blessés et de former de nouveaux médecins afin de prévoir les prochaines batailles du futur. Mais Ayame l’a vu tous les jours durant tout ce délai. De cette façon, elle a grandi avec l’amour de sa grand-mère et de son père. Quant à sa mère, elle était malheureusement souvent absente en raison de son rang de Junnin.
→ En l’an 10, Konoha et Suna partent en guerre et sa mère répond à l’appel du Shodai Hokage. Laissant sa fille derrière elle, elle rejoint les Forces Armées afin de combattre Kumo. Son père rejoint les Forces Médicales afin de soigner les blessés en arrière-front. Ayame est contrainte de vivre chez sa grand-mère alors qu’elle a cinq ans et qu’elle est presque autonome.
→ Vivant désormais loin de ses parents, elle écoute les histoires de sa grand-mère sur le passé de Konoha. Il faut dire qu’elle a vu le village se construire et même si elle n’a plus l’âge pour se battre, elle n’a pas peur de lui parler de son passif. C’est de cette façon qu’elle a poussé la jeune Ayame à s’intéresser aux arts ninja. D’ailleurs, sa grand-mère n’a pas hésité à user de ninjutsu pour amuser la jeune enfant.
→ Kumo attaque l’Est du pays du Feu et parvient à prendre le pays des Remous. Sa grand-mère a peur et elle décide de commencer l’entraînement de sa petite-fille ne sachant pas quand les parents rentreront. Mais elle se refuse de voir sa petite Ayame mourir si jamais Kumo parvient à atteindre Konoha. Heureusement, cela n’arrivera pas. Ayame à six ans.
→ Elle apprend à se lever très tôt, à aller courir tous les jours, à s’entraîner plusieurs heures d’affilier. Mais elle apprend aussi à se reposer. Selon sa grand-mère, le repos est aussi important que le reste. Malgré son jeune âge, elle reçoit les enseignements de sa grand-mère qui tient à lui apprendre tout ce qu’elle sait.
→ Elle aurait pu être comme les autres enfants, mais sa grand-mère laissait peu de place aux jeux et aux sorties entre camarades. Elle était très dure avec sa petite-fille, mais elle se console en se disant que c’est pour son bien. Malgré diverses disputes, Ayame continue l’entraînement de cette dernière se laissant bercer par cette dernière, entendant qu’il s’agit de sa propre survie.
→ La guerre se termine et ses parents rentre à la maison. Ils sont blessés, mais ils sont en vie. Ce qui ne semble pas déplaire à la jeune Ayame, âgée de dix ans. La jeune fille espère pouvoir profiter de ses parents qu’elle n’a pas revus durant ses cinq années. Durant leur convalescence, elle aide un maximum partageant son temps entre ses entraînements quotidiens et l’aide. Des journées déjà si chargées pour une si petite fille. Lorsque les parents réalisèrent que la grand-mère avait entamé un entraînement chez leur fille, ce fut la plus grosse dispute entre ses parents et sa grand-mère. Pour eux, c’était beaucoup trop tôt et ils ne voulaient pas que le choix de cette dernière soit influencé. On peut dire que c’est raté.
→ Ce qui est fait et ils durent se résoudre à reprendre là où Ayame s’était arrêté. Son père a repris la route pour l’hôpital où il reste un médecin appliqué et sélectif. Bien qu’il soit pédagogue, il ne sait pas comment apprendre à sa jeune fille et il décide avec son épouse de laisser ça aux professionnels. Alors que le Nidaime Hokage venait de créer l’académie, Ayame l’a rejoint et fait donc partie de la première génération à y recevoir un enseignement. Bien sûr, ses parents prirent le temps d’en discuter avec elle et elle donne son accord pour y aller. C’est le début de son passage académique et elle est âgée de onze ans.
→ Malheureusement, elle découvre la réalité et elle se laisse rapidement aller. En fait, elle s’y ennuie fermement et elle ne fait rien pour progresser. Cependant, ses enseignants finissent par découvrir qu’en réalité, elle était même en avance sur ses camarades. C’est comme ça qu’elle est devenue une flemmarde connue au sein de l’académie. Bien qu’elle maîtrise parfaitement les choses enseignées à l’académie, elle ne fait aucun effort pour réussir les examens de fin d’années. Ses enseignants l’ont même soupçonné de les rater exprès pendant deux ans.
→ Mais les Enseignants ont été plus malins et ils ont berné la jeune femme afin qu’elle montre ce qu’elle a dans le ventre. Ils ont dû faire preuve d’imagination et surtout de coordination pour la tromper. C’est à la suite de ça qu’elle finira par sortir de l’académie, l’obligeant à sortir de sa zone de confort. L’idée d’origine venant de ses propres parents. Ayame avait 14 ans lorsqu’elle a quitté l’Académie.
→ La voilà officiellement Gennin, mais elle ignore ce qu’elle prévoit de faire dans la vie. Son père décide alors de lui montrer ce qu’il faisait au travail afin de la motiver à s’engager sur la Voie du Ninja. Cela n’a duré que quelques mois. On peut dire qu’elle appréciait de travailler avec son père qui avait trouvé un moyen de la faire travailler sans même qu’elle ne s’en rende compte. Et on peut dire qu’elle a mis à malle de nombreuses idées de son père, il a dû faire preuve d’une grande imagination pour ça.
→ Ses parents sont envoyés au village des Remous afin de s’opposer à Kiri qui venait d’installer un avant-poste. Bien entendu, Ayame a entendu ça au cours d’une conversation entre son père et sa mère. S’inquiétant d’une nouvelle absence, elle n’a pas pu s’empêcher d’aller leur parler. Mais cela se termine en dispute et à son réveil, le lendemain, ses parents étaient déjà partis.
→ C’est terminé… Ayame attendait le retour des Forces Armées aux portes tandis que ses parents n’en font pas partie… Elle attend encore plusieurs jours gardant espoir de les revoir. Ce n’est que lors des funérailles qu’elle comprend qu’elle ne les reverra plus jamais. C’est à ce moment-là qu’elle comprend que ses parents l’ont abandonné et qu’elle développe une colère envers eux. Elle qui les aimait tant…
→ Ce fut l’événement qui la décida à prendre son entraînement très au sérieux. Elle voit ses anciens camarades devenir des ninjas intermédiaires et supérieurs alors qu’elle est encore un Genin. Elle se sent plus que jamais seule, vivant dans la maison de ses parents. C’est la dernière chose qu’elle a d’eux alors elle y reste parce qu’elle est attachée à cette maison. Elle y a grandi. C’est à partir de ce moment-là qu’elle devient exigeante et très dure avec elle-même pour le plus grand plaisir de sa grand-mère qui veille sur elle en quelque sorte.
→ Loupant la plupart des entraînements avec son équipe, son senseï décide de la confronter un soir. Il ne s’attendait pas à la trouver seule sur un terrain d’entraînement en pleine nuit. Il la surveille un moment avant de se manifester. Et c’est là qu’il découvre qu’il se trompait sur son élève qu’il voyait comme une flemmarde qui n’arriverait à rien. Elle était là, devant lui à taper contre un tronc d’arbre en s’entraînant au Taijutsu, les mains en sang, bandées, alors qu’elle forçait de plus en plus.
→ Ce fut ce soir-là que le senseï parvient à mettre son élève dans ses derniers retranchements, à la mettre en colère afin qu’elle expulse ce qui la travaillait depuis tant de temps. Il ne la ménagerait pas, bien au contraire. Il voulait voir ce qu’elle avait dans le ventre. Par contre, il ne s’attendait pas à entendre que cette colère était dirigée contre ses parents. Il tente de la rassurer, de lui expliquer que ses parents ont fait leur devoir envers le village, etc. Mais elle est tellement en colère qu’elle ne parvient pas à leur pardonner. Depuis cette nuit-là, son senseï l’a voit différemment et change de méthode pour qu’elle progresse. Lentement peut-être, mais sûrement.
→ Aujourd’hui, elle a 18 ans et elle est toujours Genin. Elle a gardé cette manie d’aller s’entraîner seule la nuit, s’épuisant jusqu’à dormir sur le terrain d’entraînement, mais elle semble déterminer à prendre la voie du Ninja au sérieux. Mais c'est surtout sa grand-mère qui a su lui tirer la promesse de devenir ninja sur son lit de mort. Pour le plus grand bonheur de son senseï.
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